La Rue des Rosiers, pourquoi on l’aime tant ?

Posted on by Nicolas Barriere in

La Rue des Rosiers, située dans le 4ème arrondissement parisien, longe depuis le XIIIème siècle les remparts de Paris. Elle qui doit son nom aux rosiers qui poussaient contre les murs, est l’une des rues les plus emblématique du Marais, quartier phare de la capitale.

La Rue des Rosiers, pourquoi on l’aime tant ?
Crédit photo : Le Marais Mood

La rue des Rosiers est associée à l’Ordre des Templiers, de par sa proximité avec la fameuse rue Vieille du Temple et son accès au jardin et à la clôture du Temple. Symbole de l’histoire juive, la rue est émaillée de belles enseignes hébraïques, qui cohabitent plutôt bien avec les boutiques de prêt-à-porter qui semblent gagner tout le quartier. On y trouve des restes liés à différentes périodes de l’histoire de la religion juive ; certains commerces ferment même leurs portes les samedis, jour du Shabbat.

Même si elle ne perd rien de son patrimoine, cette jolie rue s’est progressivement gentrifiée au fil des années. C’est dans les années 1980 que les magasins de luxe se sont invités dans cette rue et qu’elle est devenue le lieu tendance que l’on connait aujourd’hui. Elle attire aussi bien touristes que parisiens, souvent à la recherche d’une pause gourmande. Produits rituels, viandes casher, spécialités orientales, pâtisseries… Il y en a pour tous les goûts ! Bon nombre de passants viennent découvrir cette jolie rue chaque jour, à la recherche des fameux stands de falafels. Plusieurs restaurants se battent pour obtenir le monopole sur la vente de ces sandwichs végétariens à base de purée de pois chiches frits.

Vous l’aurez compris, la rue des Rosiers est tellement unique qu’elle mérite que l’on s’y promène. Notre restaurant Le Beef Steakhouse a su trouver sa place dans cette atmosphère vivante et colorée. Rendez-vous donc au numéro 33 de cette rue emblématique pour venir découvrir nos viandes d’exception !

Nicolas Barriere

http://beef.fr

Passionnée par les arts de la table depuis son enfance, Nicolas est guidé aux fourneaux par un grand-père boucher qui lui laisse des souvenirs généreux de partage, en cuisine comme à table.